L’art de parler en public, les trois règles d’or
Un jour ou l’autre, le bon vieux spectateur lambda sera amené à prononcer un discours face à un auditoire. Sous les projecteurs, au-devant de la scène, la situation n’est pas pour le moins gênante, voire même déstabilisante. Stress, bégaiement, il n’est jamais facile de parler avec un cheveu sur la langue, en plus du cœur qui bat la chamade. Voici les secrets pour vous en sortir fièrement.
Miroir, miroir, mon beau miroir…
Prenez plaisir à vous regarder parler face au miroir pour bien vous préparer. Cette pratique permet non seulement de se dénouer la langue, mais surtout de travailler régulièrement la diction. Desserrer les dents, bien ouvrir la bouche et articuler ; tels sont les secrets pour faire vivre son discours. À force de répétition, les efforts finissent toujours par payer. Il est primordial de faire des exercices de respiration afin de développer son souffle. Cela permet de faire face au trac et aux papillons dans le ventre.
Positive attitude, savoir rester zen
Mettez en avant la confiance en soi en ne vous laissant pas intimider par les regards indiscrets. Ce qui est important, c’est d’être bien dans sa peau et de rester ainsi à l’aise. Dites-vous que les yeux révolvers du public ne vont pas vous tuer. Esquivez ces balles puisqu’en restant pétrifié par les regards, vous êtes à leur merci et vous perdez tous vos moyens. Respirez un grand coup, expirez tout doucement et voyez à chaque fois le bon côté des choses. Oubliez vos tics, vos maladresses, faites plutôt place au positif, souriez !
Allumer le feu ! Éveiller l’attention de son public
Adoptez une entrée en la matière percutante. Pour ce faire, vous êtes libre de vos choix, pensez à une petite anecdote, une bonne blague bien hilarante, ou une citation qui attise la réflexion. Entre autres, les questions existentielles sont des armes puissantes pour susciter l’intérêt de l’assemblée. L’essentiel est de rester dans le champ de vision tout en restant dans le vif du sujet. Un préambule hors sujet peut vous plonger dans un cercle vicieux qui tourne facilement à l’ennui.
