Tout sur l’huile de palme
Comme toute autre graisse, la consommation d’huile de palme entraîne des problèmes de santé, dont les maladies cardio-vasculaires… Contrairement à ce que l’on pense, elle est toute aussi nocive que le beurre, si ingérée en grande quantité. Ce produit se rencontre surtout dans les marchandises consommées journalièrement.
Généralités sur l’huile de palme
L’huile de palme doit être consommée avec modération. Elle est contenue dans les produits ne rentrant pas dans la consommation quotidienne, dont les pâtisseries, les croustilles… Toutefois, il importe de souligner qu’elle apporte les mêmes acides gras oléiques comme l’huile d’olive. À l’état brut, ce composé apporte plus de vitamines A. Il a été même utilisé pour des campagnes de luttes contre les carences en vitamine A. en clair, il ne renferme pas de gras trans en son état initial.
L’huile de palme et les acides gras
Selon les scientifiques, l’huile de palme comporte plus d’acides gras saturés. Or, ce type de lipide s’avère être nocif pour la santé. Il favorise le dépôt de cholestérol au niveau des artères et provoque les maladies cardiovasculaires. Ces substances se trouvent également dans les graisses d’origine animale, dont les viandes et les produits laitiers. Toutefois, les poissons n’en comportent pas. Dans l’Union Européenne, la population consomme déjà une quantité assez considérable d’acides gras.
L’huile de palme : une huile déjà raffinée
À l’état brut, l’huile de palme a une couleur rouge. Cela équivaut à un taux de carotène alpha et bêta très élevé. Les statistiques montrent jusqu’à 500 à 700 mg/kg : des chiffres largement supérieurs par rapport à la carotte. Dans les pays producteurs, l’huile de palme extra vierge est si appréciée. Or, l’huile de palme commercialisée est déjà raffinée, ainsi, elle perd la majorité de son carotène. Après la cuisson, l’huile prend même une couleur blanche.
